HO’OPONOPONO, METHODE DES GUERRISEURS HAWAÏENS, LIVRE et TEMOIGNAGE, PAR LAURENCE LUYE-TANET
Je viens de finir la lecture d’un livre sur Ho’Oponopono. Ho’Oponopono est une méthode de libération des mémoires spirituelles. Et si nos problèmes, nos soucis provenaient de pollutions des mémoires du passé, des mémoires personnelles mais aussi des mémoires du monde en général ? Ho’Oponopono nous permettrait, par un processus simple et concret, de choisir de ne pas souffrir et même de choisir notre vie. Laurence Luyé-Tanet nous guide dans son dernier ouvrage, en détails sur Terre-nouvelle.fr.
Vous recherchez un livre sur Ho’Oponopono. L’ouvrage de Laurence Luyé-Tanet m’a fait découvrir plus en détail Ho’Oponopono, avec un aspect pratique accessible. |
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- Ho’Oponono : qu’est-ce que ça veut dire ?
Il est des mots dans l’air du temps. Des mots dont on n’avait jamais entendu auparavant.
Et d’un coup, tout le monde en parle : mon magazine préféré, mes amis, des conférenciers, des livres nouvellement édités. Ho’Oponopono fait partie de ces mots, ces mots irrestibles.
Mais que signifie Ho’Oponopono ?
Ho’Oponopono signifie « rectifier une erreur », rectifier, remettre droit, redresser.
Ho’O en hawaïen signifie « occasionner », alors que pono comprend la notion de bonté, de rectitude, de justesse : de quoi nous plaire, clairement.
- Nettoyer les mémoires, de soi et du monde
Ce qu’il y a de parfois difficile à comprendre pour nous occidentaux, c’est que dans la méthode Ho’Oponopono l’être est perçu comme faisant partie intégrante du monde et non comme une entité à part, indépendante. Ainsi, en étant une partie du tout, énergétiquement lié à cette globalité, l’être humain peur agir et nettoyer des mémoires qui lui sont liées ou qui sont liées au monde en général. Jung aurait appelé ces liens : les archétypes.
- Ho’Oponopono en pratique
Dans son livre sur Ho’Oponopono, Laurence Luyé-Tanet nous simplifie la méthode. Une dizaine de minutes suffiraient pour chaque séance.
1_ Commencez par vous connecter à la part la plus haute de vous : un fil vous tend vers le haut, reliant le sommet de votre tête vers un point très haut au-dessus de vous ou reliant le centre de votre poitrine à un point très haut au-dessus de vous. Dès que la connexion avec ce point a été faite, le lien persiste. Ce point haut vous attire particulièrement, c’est ce que l’auteur appelle votre « partie divine », divine au sens de sacré, sans lien avec une religion en particulier.
2_ Pensez au problème qui vous tracasse, d’une manière générale ou d’un point de vue plus précis.
3_ Ensuite, afin que les nœuds se défassent, vous pouvez choisir entre deux mantras à répéter :
soit Ho’Oponopono
soit un mantra plus accessible formé de ces quatre phrases :
Je suis désolé(e).
Pardonne-moi.
Merci.
Je t’aime.
Avec cette deuxième méthode, il faut garder à l’esprit que l’on ne s’adresse non pas à une personne en particulier, mais à la partie divine de notre Moi. A la notion de faute, de culpabilité que pourrait laisser penser ces quatre phrases, il faut laisser place à la notion de responsabilité : la responsabilité qui est la nôtre de nettoyer les mémoires négatives. C’est ce que l’auteur explique avec ces mots : « nous nettoyons le programme commun ».
Il est inutile de chercher à comprendre pour agir. Ho’Oponopono agit dans des sphères inconnues, dans une vision métaphysique de l’Univers. Difficile à appréhender pour nous, occidentaux.
Laurence Luyé-Tanet nous encourage : « en faisant du ménage à l’intérieur de nous, cela se manifeste à l’extérieur de nous ».
Elle pense même que cette pratique aurait un effet positif sur cette période sombre de l’humanité, le fameux Kali Yuga ou âge de fer, afin de retourner à l’ordre et à la lumière.
Dans son livre, on trouve aussi des exercices pratiques.
- Champ vibratoire personnel et choix de vie
Ceux pour lesquels la notion de champ vibratoire personnel n’est pas inconnu comprendront combien la pratique d’Ho’Oponopono peut amener une augmentation des vibrations positives.
Nous avons alors la force de choisir notre vie, au sens de faire face à notre vie avec responsabilité et respect.
Nous pouvons subir des voiles qui obscurcissent notre vision qui séparent notre espace intérieur et notre espace extérieur. Ces voiles, ce que Ho’Oponopono appelle les « mémoires », comprennent nos pensées, nos émotions, nos croyances, nos sentiments, nos souffrances, nos expériences. Ho’Oponopono nous offre l’opportunité de « dissoudre » ces mémoires. La conséquence est une connexion au divin, à la partie la plus haute de la manifestation de vie qui est en nous.
La pratique d’Ho’Oponopono nous amènerait à réagir de manière modifiée aux évènements. Mais aussi, comme notre vibration interne est clarifiée, bonifiée, des évènements de même concordance viendraient à nous, de quoi construire la vie dont nous rêvons, principe que nous cultivons tout particulièrement sur Terre nouvelle.
L’auteure insiste :
«Nous nous arrêtons aux apparences extérieures, or, c’est l’état d’esprit, l’état intérieur qui génère l’extérieur», «nos pensées sont de l’énergie», tout est dit… de quoi méditer.
Je vous conseille la lecture de l’ouvrage de Laurence Luyé-Tanet, pour découvrir et avancer sur le chemin de Ho’Oponopono.
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